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Louis de Funès acteur de génie

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ldefunes

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Ce blog fut créé pour mettre en avant et partager tous ensemble la carrière et la vie d'un des plus grands comédiens français de tous les temps, Monsieur Louis de Funès. A travers souvenirs personnels, questions-réponses, mais aussi bios de ses acteurs fétiches, ses réalisateurs etc..., Louis de Funès sera toujours avec nous ! *** NOUVELLE VERSION REMANIÉE, PLUS AGRÉABLE ET PRATIQUE D'ACCÈS ***

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  • Louis de Funès en interview : #2 - "Je suis bien trop sérieux" (ORTF, 4/10/71)
  • Louis de Funès en interview : #1 - "Les petits métiers que j'ai fait" (ORTF, 22/01/61)
  • Critique livre : "Le gendarme de Saint Tropez" de Sylvain Raggianti, chez Flammarion
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CARNET NOIR : Décès du réalisateur Gérard Oury

C'est à 87 ans, dans sa maison de Saint-Tropez, et entouré de toute sa famille, que s'est endormi pour toujours, ce jeudi 20 juillet 2006 au matin, le réalisateur français Gérard Oury.

Sorti en décembre 1966, "La Grande Vadrouille", avec en vedette Louis de Funès et Bourvil, irrésistible duo comique déjà réunis dans "Le Corniaud", avait attiré plus de 17 millions de spectateurs - le plus gros succès en France jusqu'à la sortie de "Titanic" en 1998.

Gérard Oury naît le 29 avril 1919 à Paris, fils d'un violoniste, Serge Tenenbaum.

A 17 ans, il suit les cours de René Simon et entre au Conservatoire aux côtés de Bernard Blier et François Périer. Pensionnaire de la Comédie française en 1939 et 1940, il monte sur scène dans "Britannicus" mais doit bientôt fuir les lois antijuives du régime de Vichy et partir pour la Suisse.

Revenu en France après la guerre, il joue au théâtre tout en abordant quelques seconds rôles au cinéma, et passe à la réalisation en 1959 en tournant "La Main chaude".

En 1961, "Le Crime ne paie pas", avec Louis de Funès, est son premier succès comme réalisateur.

Trois ans plus tard, les pérégrinations en Italie et dans le sud de la France de son "Corniaud", Antoine Maréchal (Bourvil), manipulé par l'ignoble trafiquant Léopold Saroyan (De Funès), sont un succès phénoménal, avec 12 millions de spectateurs.

Succès confirmé et dépassé par "La Grande Vadrouille" près de trois ans plus tard, une comédie sur fond d'occupation allemande, avec un aussi époustouflant qu'irritant Louis de Funès en chef d'orchestre irascible, Stanislas Lefort, et un Bourvil aussi tendre que benêt, le peintre en bâtiment Augustin Bouvet.

Ce sont ensuite "Le Cerveau" (1968), "La Folie des grandeurs" qui réunit en 1971 Louis de Funès et Yves Montand, "Les Aventures de Rabbi Jacob" (1973) et "L' As des As" (1982) avec Jean-Paul Belmondo, toujours de grands succès populaires.

Gérard Oury réalise deux films avec le blond feu follet Pierre Richard, "La Carapate" (1978) et "Le Coup du parapluie" (1980). Ce sont ensuite des comédies comme "La Vengeance du serpent à plumes", "Vanille fraise" ou encore "La Soif de l'or", qui rencontrent moins de succès.

Les films s'espacent peu à peu. En 1993, Gérard Oury reçoit un César d'Honneur. En 1996, il signe "Fantôme avec chauffeur", avec comme vedettes Philippe Noiret et Gérard Jugnot, puis en 1999 "Le Schpountz".

En 2001, le Festival de Cannes lui rend hommage en lui remettant un "Trophée du Festival".

Sa fille, Danièle Thompson, a été sa scripte et sa co-scénariste dans de nombreux films, dont certains avec Louis de Funès, "Les aventures de Rabbi Jacob" et "La grande vadrouille". Depuis, elle a mené une brillante carrière en tant que réalisatrice (on lui doit "Fauteuils d'orchestre" récemment, et "Décalage horaire" il y a trois ans.

Son épouse, Michèle Morgan (ici sur cette photo), est une brillante et grande comédienne, qui a partagé sa vie depuis quarante ans.
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#Posté le jeudi 20 juillet 2006 08:01

Modifié le dimanche 27 mai 2007 09:56

Les grands partenaires de Louis de Funès : Jean Gabin

Je vous propose une série de portraits de grands comédiens qui ont donné la réplique, une ou plusieurs fois, à Louis de Funès, au long de sa carrière. Commençons par l'un des plus célèbres.

***

Jean Gabin, de son vrai nom Jean Alexis Moncorgé, est né le 17 mai 1904 à Paris. Son papa, Ferdinand Joseph Gabin Moncorgé, est tenancier de café et comédien d'opérette, et sa maman, Hélène Petit, est chanteuse de café-concert. Tous deux vivent à Paris, et le petit Jean, avec ses six frères et soeurs, sera élevé à la campagne par sa soeur aînée Madeleine.

Toute sa vie, il gardera une profonde affection pour la campagne et le monde paysan. Il vivra ses jeunes années dans le petit bourg campagnard de Mériel du Val d'Oise, dans une maison au bord d'une voie ferrée.

Alors qu'il a quinze ans, sa maman décède. Il quitte l'école, où il est mauvais élève, et enchaîne les petits métiers : garçon de bureau à la compagnie parisienne d'électricité, cimentier à la gare de la Chapelle, manoeuvre dans une fonderie, magasinier aux magasins d'automobiles de Drancy, vendeur de journaux entre autres.

Son grand-père était conducteur de locomotive et ce sera l'un de ses grands rêves d'adolescent. Du reste, dans "La bête humaine" il réalisera ce rêve, au moins dans un rôle. L'an suivant, en 1922, son père le force à entrer dans le monde du spectacle, en tant que figurant aux Folies-Bergère. Le directeur est un ami de la famille, et il acceptera de l'engager pour une saison.

En 1924 et 1925, Jean Gabin fait son service militaire dans la marine et il épouse une admiratrice, lors d'une permission en 1925. Il n'aura pas d'enfant avec elle.

L'année 1926 sera le premier tournant dans sa vie puisqu'il deviendra un véritable artiste de music-hall et chanteur d'opérette. Il imite Maurice Chevalier et entame un tour de chant avec succès pendant deux ans dans toute la France et en Amérique du Sud. En 1928, il deviendra partenaire de Mistinguett au Moulin-Rouge et aux Bouffes-Parisiens.

Son premier rôle dans un film, sera en 1930 dans "Chacun sa chance". En 1933 il épouse à Paris une meneuse de revue et danseuse nue du Casino de Paris.

L'année 1936 sera celle de la consécration grâce à Julien Duvivier qui le mettra en scène dans deux gros succès, "La belle équipe" et "Pépé le Moko". Il rencontre Michèle Morgan sur le tournage de "Quai des brumes" en 1938, et il vivra deux ans avec elle. L'année 1941 le verra s'expatrier à Hollywood où il retrouvera Jean Renoir, Charles Boyer et Jean-Pierre Aumont qui tentèrent eux aussi leur chance là-bas.

Les années 40, outre son effort de guerre, seront l'occasion pour lui de se marier à nouveau et d'être décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre.

Entre 1950 et 1956, il aura encore trois enfants : Florence, Valérie et Mathias. D'ailleurs, c'est pour élever sa progéniture entre autres raisons, qu'il décide en 1952 d'acquérir un domaine agricole en Normandie, "La Pichonnière", sur lequel il fera construire "La Moncorgerie" (de son vrai nom). Il élèvera près de 300 têtes de bétail et il possédera une écurie d'une quinzaine de chevaux de course pour assouvir sa passion pour l'élevage.

En 1954, le succès revient avec "Touchez pas au grisbi" de Jacques Becker, "L'air de Paris" de Marcel Carné et "French Cancan" de Jean Renoir l'an suivant.

Sa carrière explosera entre 1956 et 1962 avec pas moins d'une quinzaine de films, dont "La traversée de Paris" où il donnera la réplique à un certain Louis de Funès et où il sera partenaire de Bourvil. D'autres films aussi seront dialogués par Michel Audiard ("Maigret et l'affaire Saint-Fiacre", "Le Jardinier d'Argenteuil", "Archimède le Clochard", "Le président" et "Le cave se rebiffe"). Il retrouvera Michel Audiard sur le tournage du "Gentleman d'Epsom", où de Funès a un rôle un peu plus conséquent. En 1963 il créera avec son ami Fernandel la société de production Gafer avec laquelle il produira "L'âge ingrat" l'année suivante, et aussi "Deux hommes dans la ville" en 1973 avec Alain Delon (qui le coproduira aussi).

Entre 1968 et 1970, "Le Pacha", "Le clan des Siciliens" et "La Horse" sont les trois films principaux. Il excellera dans "Le chat" avec comme partenaire la tyrannique Simone Signoret.

Il rencontrera une dernière fois Louis de Funès en 1968 sur le tournage du "Tatoué". Un film plutôt sympa, mais où la bonne entente entre les deux comédiens sera moins visible cette fois-ci... De Funès était devenu une véritable vedette alors que la carrière de Jean Gabin était lentement sur le déclin.

Entre 1972 et 1976, il tournera encore quatre films de bonne qualité : "L'affaire Dominici", "Le tueur", "Deux hommes dans la ville" et "L'année sainte". Dans ce dernier, tourné quelques mois avant sa mort, il aura comme partenaire Jean-Claude Brialy.

Il décèdera d'une congestion pulmonaire et de problèmes cardiaques le 15 novembre 1976 à Paris. Cinq ans plus tard, le Monde du Cinéma lui rendra hommage en créant le Prix Jean Gabin qui recompense tous les ans les meilleurs espoirs masculins du Cinéma français.
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#Posté le vendredi 01 septembre 2006 10:56

Critique DVD : "Coffret Louis de Funès : Hibernatus, L'homme orchestre, Le grand restaurant, La folie des grandeurs et Oscar"

En juin 2002 sont sortis, chez Gaumont Home Video, cinq films faisant partie des plus gros succès de Louis de Funès : "Oscar", "L'homme orchestre", "Le grand restaurant", "La folie des grandeurs" et "Hibernatus".

Quelques mois plus tard, sous couvert d'une offre spéciale, Gaumont Home Video propose ces cinq comédies dans un coffret. Et c'est ce coffret-là dont je vais vous parler, en vous décortiquant chaque DVD et chaque bonus.


"Oscar"

Sur ce premier DVD, outre le film lui-même et le commentaire audio du réalisateur Edouard Molinaro et de la comédienne Agathe Natanson, il y a un passionnant documentaire d'une quarantaine de minutes intitulé "La mouche dans un bocal", qui retrace avec malice et nombre d'anecdotes l'origine de la pièce "Oscar" et la transposition au cinéma. On retrouve avec plaisir les interventions de Pierre Mondy (qui a assuré la mise en scène de la version théâtrale au Palais-Royal pendant plus de 600 représentations), Claude Rich (qui a joué Christian Martin au cinéma), Agathe Natanson (Colette la fille de Barnier dans le film), Maria Pacôme (la femme de Barnier dans la pièce), Roger Van Hool (Oscar dans le film) et aussi le décorateur François de la Mothe.

Et enfin, un petit bijou, trop court évidemment mais à garder précieusement, un extrait d'environ 3 minutes de la représentation d'"Oscar" au Théâtre du Palais-Royal le 12 janvier 1972. Cet extrait fut filmé spécialement pour l'émission de Jacques Chancel "Le grand échiquier".


"Le grand restaurant"

Sur ce second DVD, là on reste sur sa faim car comme bonus, à part les habituelles bandes-annonces et galeries de photos (également présentes sur le DVD précédent, et les suivants), nous trouvons un commentaire de la chorégraphe et grande amie de Louis de Funès, Colette Brosset, à propos du fameux ballet du cours de comédie appliqué à la restauration.


"La folie des grandeurs"

Sur ce troisième DVD, un documentaire qui vaut vraiment la peine d'être vu, et revu tant de fois possible, et qui porte le titre "La folle heure des grandis". On y apprend comment le film a vu le jour, suite au décès subit de Bourvil qui devait normalement partager l'affiche avec Louis de Funès, mais on y apprend aussi de nombreuses anecdotes de tournage, appuyées par des images d'archives d'interviews des comédiens et du réalisateur Gérard Oury, dont sa fille Danielle Thompson nous apporte un éclairage tout à fait pertinent. Un moment tout à fait touchant est celui où Louis de Funès ensence littéralement la musique du film, composée par Michel Polnareff. Il déplore que le disque ne soit pas carrément disponible à l'achat dans les salles de cinéma !


"Hibernatus"

Sur ce quatrième DVD, un documentaire malheureusement trop court à mes yeux, et qui ne donne pas la parole à certains protagonistes qui auraient mérité de dire quelques mots. "Rompre la glace" reprend notamment la mauvaise entente entre Edouard Molinaro et Louis de Funès durant le tournage, mais aussi l'engagement de Bernard Alane dans le rôle de l'hiberné, et de sa maman Annik Alane dans le rôle de Madame Crépin-Jaujard. A noter un hommage tout à fait justifié au décorateur et ensemblier Georges Whakevitch.


"L'homme orchestre"

Et enfin, sur cet ultime DVD, le réalisateur Serge Korber nous fait le commentaire du film et nous offre également une interview tout à fait intéressante, en nous confiant son regret de ne pas avoir raccourci le film ou l'avoir tourné un peu trop rapidement, mais en rendant un hommage à Louis de Funès qui avait appris la danse et donné l'impression d'avoir toujours maîtrisé cet art.


***

En définitive, ce coffret est un très beau cadeau de Noël à faire, auprès de certains de vos amis qui ne connaissent pas trop bien ces films-là car ce sont des excellentes comédies, qui font toujours le bonheur des audimats des chaînes de télé plus de trente ans après leur création.
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#Posté le lundi 16 octobre 2006 11:42

Il était une fois un réalisateur : Edouard Molinaro

Voici, après de longues semaines de "sommeil", un nouvel article sur ce blog qui plaît toujours d'ailleurs. Nous allons parler d'un très bon réalisateur qui a travaillé avec Louis de Funès sur deux films qui furent des succès, "Oscar" et "Hibernatus". Bonne lecture.

***

Edouard Molinaro est né le 13 mai 1928 à Bordeaux. Dès sa plus jeune enfance, il se passionne pour le grand écran, il ira d'ailleurs très tôt hanter les salles obscures avec ses parents.

Sa première expérience derrière la caméra, et en tant que scénariste, sera pour "Les alchimistes" en 1957. C'est en fait un documentaire court, dont le commentaire est dit par Jean Desailly. En 1959, il tourne son premier grand film avec Lino Ventura, Daniel Ceccaldi et Robert Dalban, "Un témoin dans la ville". Puis, c'est Pascale Petit, Michel Auclair et Micheline Presle pour "Une fille pour l'été" en 1960.

Un début de vraie consécration sera sa participation dans le jury du Festival de Cannes en 1961. "Une ravissante idiote" avec Brigitte Bardot, en 1964, sera son premier véritable succès. Suivi en 1967 de "Peau d'espion". La même année, il rencontre Louis de Funès pour l'adaptation cinématographique de "Oscar". Le tournage fut des plus cahotiques, comme il l'explique dans le bonus passionnant du DVD chez Gaumont Vidéo.

Puis, deux ans plus tard, deux films se suivirent de peu, "Hibernatus" et "Mon oncle Benjamin", ce dernier avec Jacques Brel.

Dans les années 70, il tournera pour la télévision quelques épisodes de feuilletons, et au cinéma, ce sera notamment "La mandarine" en 1972 avec Annie Girardot et le regretté Phililppe Noiret. Mais surtout, successivement en 1973 "L'emmerdeur", en 1975 "Le téléphone rose", et en 1978 et 1980, les deux premiers volets de "La cage aux folles" avec Michel Serrault et Ugo Tognazzi.

C'est pendant cette période (fin des années 70) qu'il sera considéré, pas forcément à juste titre, comme un réalisateur franchouillard de bas étage, notamment pour des films comme "Cause toujours tu m'intéresses". Il va néanmoins tourner pour la télévision entre 1978 et 1981, avec les téléfilms de la collection "Claudine" écrite à l'origine par Colette, et aussi un épisode de la série avec Simone Signoret "Madame le Juge".

"Pour cent briques, t'a plus rien" avec Daniel Auteuil et Gérard Jugnot en 1982, sera un de ses succès populaires, de même que la télésuite "Au bon beurre" avec Roger Hanin en 1981. A la télévision toujours, il sera au générique du "Tiroir secret" et des "Grandes familles" (aussi comme co-scénariste).

Ses dernières réalisations pour le cinéma seront "A gauche en sortant de l'ascenseur" et "Beaumarchais l'insolent". Depuis 1999, il est exclusivement dirigé vers la télévision, avec notamment la série "H", et des épisodes de "Navarro", "Le tuteur" et "Les hommes de coeur", ainsi que les téléfilms "Une famille pas comme les autres", "Nana" et "Tombé du nid".
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#Posté le jeudi 30 novembre 2006 01:52

Vidéo hommage : Louis de Funès reçoit un César d'honneur en 1980

Ajouter cette vidéo à mon blog

Vous vous souvenez tous de cette fameuse séquence, alors je vous l'offre sur mon modeste blog, avec grand plaisir.

Nous sommes en mars 1980 et Louis de Funès reçoit, des mains de Jerry Lewis et Kirk Douglas, le César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Ce moment est toujours si agréable et émouvant à revoir !
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#Posté le jeudi 28 décembre 2006 08:14

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